Les collections
Une restauration fondamentale de la Sainte Anne de Léonard de Vinci a été envisagée dès les années 1990, époque à laquelle furent effectués quelques tests de nettoyage assez concluants. L'aspect terne du tableau, ses teintes décolorées et faussées sous d'épais vernis jaunes, ses contrastes abolis, et surtout la multitude de repeints virés qui maculaient le ciel et le manteau bleu de la Vierge exigeaient une intervention qui, finalement, n'a pu être effectivement menée qu'à partir de 2009. À ce moment-là, de menus soulèvements, sans doute dus au racornissement des vieux vernis de restauration tirant sur la couche picturale, rendaient l'opération désormais inévitable.
Deux problèmatiques lors de la restauration
Cette restauration combinait deux problématiques principales : l'enlèvement des repeints désaccordés, dont certains résultaient de très anciennes et épaisses superpositions de retouches, et l'amincissement des vernis de restauration oxydés et chancis par trop de nettoyages partiels, de véhiculages, de retouches et de refixages au cours des siècles.
Autres collections
Deux problèmatiques lors de la restauration
Cette restauration combinait deux problématiques principales : l'enlèvement des repeints désaccordés, dont certains résultaient de très anciennes et épaisses superpositions de retouches, et l'amincissement des vernis de restauration oxydés et chancis par trop de nettoyages partiels, de véhiculages, de retouches et de refixages au cours des siècles.